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16/09/2020 - 01/10/2020

Septembre 2020 – Deuxième quinzaine

Eric Dupond-Moretti choisit une avocate pour diriger l’Ecole nationale de la magistrature

Dénonçant « les dérives de la culture de l’entre-soi », Eric Dupond-Moretti vient de jeter un nouveau pavé dans l’univers policé de la magistrature, quelques jours après avoir déclenché une enquête administrative contre trois magistrats du parquet national financier (PNF) dans l’affaire des écoutes de plusieurs avocats. Le garde des Sceaux a annoncé ce lundi la nomination de Nathalie Roret, actuelle vice-bâtonnière de Paris à la direction de l’Ecole nationale de la magistrature (ENM), montrant ainsi sa volonté de dynamiter l’institution. C’est la première fois qu’une femme va prendre les rênes de l’Ecole. Mais surtout, celle-ci n’est pas magistrate, mais avocate. Cela fait plus de vingt ans qu’Eric Dupond-Moretti théorise la nécessité d’ouverture de l’Ecole nationale de la magistrature. Il l’a redit ce matin : « J’ai exprimé depuis longtemps, l’idée que ce corporatisme, qui éloigne la justice des citoyens, prenait corps pour une part à l’ENM » et qu’il fallait « rompre avec des traditions surannées ». De quoi faire bondir les syndicats de magistrats. « Au-delà de l’effet d’annonce, le problème est le discours avec lequel le garde des Sceaux présente cette nomination, la façon dont il présente le corps et ce mépris qu’il continue d’afficher envers les magistrats », s’insurge Cécile Mamelin, trésorière nationale de l’Union syndicale des magistrats (USM), majoritaire dans la profession. L’ENM, elle-même, a réagi, en rappelant que « la formation des magistrats privilégie et entretient au quotidien les échanges interprofessionnels avec l’ensemble de leurs partenaires ».

Source : Les Échos

 

Emmanuel Macron lance sa loi contre le séparatisme islamiste

 Souvent annoncé, toujours reporté, le projet de loi sur les séparatismes va enfin être présenté. Emmanuel Macron doit profiter d’un déplacement aux Mureaux (Yvelines), ce vendredi matin, pour dévoiler les grandes lignes de son texte, qui vise principalement à lutter contre l’islam politique et l’islam radical. Encore à l’écriture, la loi devra ensuite être « stabilisée », pour arriver début décembre en Conseil des ministres, puis en janvier à l’Assemblée nationale. Le débat au Parlement est prévu pour le premier semestre 2021. Soucieux de « renforcer la neutralité du service public et des délégations de service public », les auteurs du texte prévoient notamment d’interdire les lieux de prières improvisés dans les entreprises de transports ou les aéroports. Il ne sera plus question non plus de voir des agents musulmans radicaux désinfecter les sièges sur lesquels des femmes se sont assises. Le texte devrait aussi durcir le contrôle des associations, érigées comme « le premier point de préoccupation » de l’exécutif. Les structures « dont l’objet social est dévoyé » au profit d’un apprentissage « très musclé » de la religion seront promises à une thérapie de choc. Au chapitre de la « protection de l’enfance », le projet de loi va instaurer des nouveaux mécanismes pour veiller à la transparence et renforcer le contrôle des écoles hors contrats. Dans le viseur : le « soutien scolaire » qui sert de prétexte à de véritables lavages de cerveaux et la « scolarisation à domicile » qui échappe à tout contrôle. Enfin, au nom de la « dignité humaine », le projet de loi « sur les séparatismes » devrait interdire une fois pour toutes les certificats de « virginité » délivrés par des médecins douteux. Ces derniers pourraient s’exposer à des sanctions pouvant aller jusqu’à des peines d’emprisonnement accompagnées de radiation. Outre une intensification de la lutte contre la polygamie qui sévit encore en France, le texte devrait mettre en place une « réserve héréditaire » pour que plus aucune femme musulmane ne se fasse voler la part d’héritage qui lui revient sur le territoire français.

Source : Le Figaro

 

Nicolas Dupont-Aignan annonce sa candidature à l’élection présidentielle

 Nicolas Dupont-Aignan a annoncé samedi 26 septembre qu’il était candidat pour 2022 afin que « les Français aient le choix » et échappent à un duel Macron-Le Pen. « 80 % des Français ne veulent pas du duel Macron-Le Pen qu’on est en train de nous tricoter. (…) Je suis candidat maintenant parce que je veux convaincre les Français qu’il n’y a pas de fatalité et qu’on peut vivre une autre vie en France », a déclaré le président de Debout la France à TF1. « Je voudrais tellement que les Français croient à nouveau en leur pays » et « je veux qu’en 2022 les Français aient le choix », a-t-il ajouté, peu avant son discours de rentrée devant des militants au Cirque d’Hiver à Paris. Nicolas Dupont-Aignan a été candidat aux présidentielles de 2012 et 2017. Le souverainiste avait réuni 4,7 % des voix au premier tour en 2017 avant de se rallier à la présidente du Rassemblement national.

Source : Le Point

 

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Attaque à Paris : le suspect pakistanais pensait s’attaquer au siège de Charlie Hebdo

En plein procès des attentats de janvier 2015, et après la republication par Charlie Hebdo des caricatures de Mahomet, le sang a de nouveau coulé devant les anciens locaux parisiens du journal satirique. Vendredi 25 septembre en fin de matinée, deux personnes ont été grièvement blessées lors d’une attaque à l’arme blanche. Le principal suspect des faits, un homme se présentant comme un Pakistanais de 18 ans, a été interpellé trois quarts d’heure après au pied des marches de l’Opéra Bastille, le visage maculé de sang, vêtu d’un sweat-shirt vert fluo et de basket rouges.

Les premiers éléments de l’enquête «laissent penser que le principal suspect a agi seul», a indiqué à l’AFP une source proche du dossier. Par ailleurs, une vidéo de plusieurs minutes «pas encore totalement authentifiée» montre un homme qui pourrait être, de manière «extrêmement probable» l’assaillant. Sur la vidéo, cet homme «chante, pleure, parle des caricatures du prophète et annonce son passage à l’acte dans une sorte de manifeste», détaille la source proche du dossier, qui insiste sur «l’absence d’un acte d’allégeance à une organisation». En garde à vue, cet homme «a assumé son acte» a appris ce samedi l’AFP de sources proches de l’enquête. Il «assume son acte qu’il situe dans le contexte de la republication des caricatures (de Charlie Hebdo, ndlr) qu’il n’a pas supportée», a ajouté l’une de ces sources. Il pensait que la rue Nicolas Appert, là où a eu lieu l’attaque, abritait toujours le siège du journal et aurait fait de repérages devant l’immeuble.

Source : Le Figaro

 

Procès des attentats de Charlie Hebdo : le choc en pleine audience

 En cette fin de quatrième semaine d’audience, les interrogations concernant le procès des attentats de janvier 2015 tournaient essentiellement autour de l’état de santé de l’un des accusés, Mickaël Pastor Alwatik, dont on redoutait la contamination par la Covid-19 et ses conséquences sur la poursuite des débats. Mais l’événement qui a secoué les participants est venu hier matin de l’extérieur du Palais de justice, avec l’attaque au couteau survenue devant les anciens locaux de Charlie Hebdo. Une réminiscence des tragiques événements qui se sont déroulés cinq ans et huit mois plus tôt et qui est venue percuter un procès à l’ambiance déjà très lourde.

La cour était en train d’écouter la déposition d’un enquêteur de la DGSI lorsque les alertes ont commencé à tomber sur les écrans des téléphones portables, peu avant 12 h 30. La nouvelle s’est répandue dans les rangs de la presse comme sur les bancs des avocats, suscitant une suspension d’audience et le rush des journalistes sur leurs téléphones. Pour Me Samia Maktouf, avocate de Lassana Bathily, rescapé de l’attaque de l’Hyper Cacher, les motivations de l’assaillant ne faisaient aucun doute : “On se doute bien que c’est en lien avec le procès. Nous vivons ici avec cette menace tous les jours. Cela ajoute encore de la tension, de l’angoisse, mais ça nous donne aussi plus de conviction pour aller au bout de ce procès.” C’est d’un témoin entendu par la cour la semaine dernière qu’est venue l’une des réactions les plus vives. En l’occurrence, Marika Bret, DRH de Charlie Hebdo, contrainte de déménager en urgence le 14 septembre dernier en raison de menaces de mort proférées à son encontre : “Je suis chavirée, anéantie, j’ai le cœur à l’envers. C’est déjà tellement difficile pour moi d’être là mais en même temps, c’est important d’être là, j’ai envie d’entendre et de comprendre. C’est un nouveau coup de massue, il n’y a qu’un mot, l’horreur, et jusqu’où ça va aller ?”

Source : La Dépêche

 

Mort de Victorine : les pistes des enquêteurs, des analyses en cours

La mort de Victorine, dont le corps a été retrouvé sans vie lundi dernier dans un ruisseau de Villlefontane, a créé une vive émotion en France. Près de 6 000 personnes étaient présentes lors de la marche blanche organisée en son hommage hier. Le procureur de la République de Grenoble Éric Vaillant tiendra une conférence de presse ce lundi 5 octobre, afin de faire un point sur “la poursuite des investigations dans l’enquête relative au décès de Victorine Dartois”.

Les enquêteurs tentent actuellement de reconstituer le parcours de Victorine à partir du moment où elle a quitté ses amis samedi 26 septembre dans la soirée. 47 d’entre eux sont actuellement mobilisés “pour effectuer notamment une enquête de voisinage et entendre tout témoin utile”. Un travail d’exploitation des images de vidéosurveillance et des données de téléphonie est également effectué, des agents tentent aussi de faire parler les traces sur les vêtements, les chaussures et le sac à main de la jeune victime. Les prélèvements réalisés sur ces derniers, sur le corps de la victime et le lieu du crime sont analysés par des experts de l’Institut de recherche criminelle de la gendarmerie (IRCGN). Selon le Parisien, trois types d’analyses sont en cours : la recherche d’ADN, celle des empreintes digitales, et celle qui cherche à faire apparaitre des élements pileux ou des fibres. L’eau de la rivière est aussi analysée afin d’établir, avec certitude, le lieu de la noyade de Victorine. Le rapport d’autopsie effectué la semaine dernière évoque “une mort par noyade avec intervention d’un tiers en raison de multiples ecchymoses internes retrouvées sur le corps de la victime”, a annoncé le procureur adjoint Boris Duffau. Une “pression sur les épaules” serait étudiée. À ce stade, “aucune trace de violence sexuelle n’a été constatée”, mais “il n’est pas pour autant possible à ce stade de l’enquête d’écarter cette hypothèse”.

Les obsèques de Victorine auront lieu ce mercredi 7 octobre à 14h30, à l’église Saint-Jean-Baptiste de Bourgoin-Jallieu. C’est l’une des sœurs de la jeune femme qui a donné cette information sur Instagram, en précisant que la messe sera “ouverte à tout le monde”.

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Covid-19. Paris et sa petite couronne passent en zone d’alerte maximale

Placées en état d’alerte maximale, Paris et sa petite couronne vont connaître lundi de nouvelles mesures de restrictions, dont la fermeture des bars, pour faire face à la progression inquiétante de l’épidémie de coronavirus dans la capitale. La maire PS Anne Hidalgo et le préfet de police Didier Lallement tiendront à 11h30 une conférence de presse lors de laquelle ils détailleront les mesures prises par arrêté qui s’appliqueront pendant quinze jours au moins à Paris et dans les trois départements de la petite couronne. Seront également évoqués lors de cette conférence de presse des mesures concernant les Ehpads et l’enseignement supérieur. Matignon a annoncé dès dimanche soir que les salles ou amphithéâtres des universités ne pourraient, à partir de mardi, être remplis qu’à 50% de leur capacité au maximum en zones d’alerte renforcée et maximale. Les restaurants en revanche pourront rester ouverts, à Paris et partout en France, y compris à Aix-Marseille où ils avaient dû baisser le rideau il y a une semaine. Le gouvernement suit en effet l’avis du Haut Conseil de Santé Publique qui a validé dimanche le protocole sanitaire renforcé proposé par les professionnels du secteur et qui sera applicable dans les zones d’alerte maximale ainsi que dans les zones d’alerte renforcée.

Là-aussi, les modalités de ce protocole seront détaillées lundi par les ministres compétents. Selon l’Umih des Bouches-du-Rhône, les restaurateurs devront notamment recenser leurs clients pour les contacter après coup en cas de besoin, garder 1,5 mètre entre chaque table et rendre obligatoire le paiement à table, mais aussi fermer leurs établissements à 22h.

Source : Ouest France

 

La durée du congé paternité en France va doubler, passant à vingt-huit jours

 Ces derniers mois, plusieurs membres du gouvernement avaient exprimé leur souhait d’allonger la durée du congé paternité. C’est finalement le président de la République, Emmanuel Macron, qui a annoncé son doublement de quatorze à vingt-huit jours, mercredi 23 septembre, lors d’un déplacement dans un centre de protection maternelle et infantile (PMI) de Longjumeau (Essonne).

Instauré en janvier 2002, le congé paternité est une piste de réponse à plusieurs enjeux de société : l’implication des pères dans l’éducation des enfants, le rééquilibrage des tâches familiales, mais aussi l’égalité professionnelle entre les hommes et les femmes, la maternité étant clairement identifiée comme un frein à la carrière de ces dernières. L’annonce de cette réforme intervient après la remise d’un rapport d’une commission d’experts dirigée par le neuropsychiatre Boris Cyrulnik sur les « 1 000 premiers jours » de l’enfant, le 8 septembre. Elle est cependant moins ambitieuse que les recommandations de la commission en la matière, qui proposait d’allonger le congé paternité à neuf semaines, fractionnables, au nom des « effets positifs sur le développement de l’enfant ».

Source : Le Monde

 

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États-Unis : débat tendu entre Donald Trump et Joe Biden

Si Donald Trump et Joe Biden ont pu exprimer leurs divergences lors de ce premier débat en vue de l’élection présidentielle de novembre, la presse américaine est, de son côté, unanime : les deux candidats se sont livrés à un spectacle tendu, difficile à regarder. Entre les moqueries et les insultes, la campagne présidentielle « s’est transformée en un chaos alors que le président Trump a sans cesse interrompu et insulté le candidat démocrate Joe Biden », résume le Washington Post.

Pour l’éditorialiste Dan Balz, il s’agit bien du « pire débat présidentielle de l’histoire ». « Aucune personne vivante n’avait jamais assisté à un débat comme celui-ci. Un festival de cris inconvenants, d’interruptions et d’insultes personnelles. C’était une insulte au public et un triste exemple de l’état de la démocratie américaine, cela cinq semaines avec les élections ». Même la très conservatrice « Fox News » va dans ce sens. C’était « comme une bagarre dans un bar », « un derby insultant épuisant », écrit la chaîne de télévision sur son site . Un homme est pourtant pointé du doigt comme responsable de ce piètre spectacle : « Interrompant Joe Biden presque à chaque fois qu’il parlait, le président Trump n’a guère tenté de rassurer les électeurs indécis sur son leadership », écrit « The New York Times » . Dans une analyse, le quotidien américain déplore que le président ait fait de ce débat « ce qu’il a fait avec la vie politique du pays au cours des quatre années : un volume déchaîné, des obstructions et autant de fiction que nécessaire pour imposer sa volonté ». Le ton est donc donné pour la suite de la campagne, et cela a de quoi inquiéter les médias. Pour le site « Politico » qui parle du débat comme d’un « moment épique de honte nationale » et un « un embarras », « la tache sera visible pendant de nombreuses années à venir. Cela rappellera la nuit où le barrage s’est brisé et les courants de mépris qui se sont accumulés dans la vie publique depuis de nombreuses années, ont inondé la scène face à des dizaines de millions d’Américains ».

Source : Les Échos

 

Caucase : Azerbaïdjan et Arménie très proches de la guerre à cause du Nagorny Karabakh

L’Arménie et l’Azerbaïdjan étaient au bord de la guerre dimanche, des combats meurtriers ayant éclaté entre les forces azerbaïdjanaises et la région séparatiste du Nagorny Karabakh soutenue par Erevan. Les belligérants ont fait état de victimes militaires et civiles. Selon la partie arménienne, une femme et un enfant ont été tués. Un conflit majeur impliquant l’Azerbaïdjan et l’Arménie pourrait entraîner l’intervention des puissances en concurrence dans la région du Caucase, la Russie et la Turquie.

Le conflit autour du Nagorny Karabakh, qui a fait sécession de l’Azerbaïdjan avec le soutien arménien, nourrit les tensions régionales depuis trente ans. Après l’annonce des premiers combats dimanche matin, le Premier ministre arménien, Nikol Pachinian, a décrété « la mobilisation générale » et l’instauration de « la loi martiale », tout comme les autorités du Karabakh. « Soutenons fermement notre Etat, notre armée (…) et nous allons vaincre. Longue vie à la glorieuse armée arménienne ! », a-t-il écrit sur Facebook. Le ministère azerbaïdjanais de la Défense a indiqué pour sa part avoir lancé une « contre-offensive sur toute la ligne de front » du Karabakh, afin de « mettre fin à des activités militaires des forces armées de l’Arménie ». « Des morts et des blessés ont été rapportés parmi les civils et les militaires », a ajouté la présidence azerbaïdjanaise, tandis que le médiateur public du Karabakh a déclaré qu’il y avait « des victimes civiles ». Aucun bilan chiffré n’a été avancé, tandis que le ministère de la Défense du Karabakh a dit avoir infligé « de lourdes pertes » à l’adversaire.

Le Nagorny Karabakh est une région sécessionniste d’Azerbaïdjan, peuplée majoritairement d’Arméniens et soutenue par l’Arménie. Elle a été le théâtre d’une guerre au début des années 1990 qui a fait 30.000 morts, et depuis lors, les autorités azerbaïdjanaises veulent en reprendre le contrôle, par la force si nécessaire. Des pourparlers de paix sont dans l’impasse depuis de longues années. Des combats opposent régulièrement séparatistes et Azerbaïdjanais, mais aussi Erevan et Bakou.

Source : AFP

Tensions en Asie : l’Inde et le Pakistan se provoquent encore

Les frontières qui traversent le Cachemire demeurent douloureuses. La région du Ladakh, qui sépare la Chine de l’Inde, cristallise particulièrement les tensions depuis le début de l’été 2020. Ce différend frontalier fait plusieurs dizaines de morts dans la région du lac de Pangong au mois de juin 2020, et plusieurs milliers de soldats se font face de part et d’autre en septembre 2020. Une guerre a déjà opposé ces deux géants asiatiques dans cette région en 1962, la défaite a été cuisante pour New Delhi.

Source : Diploweb

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